À la commission d'enquête
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À la commission d'enquête
Une lettre officiel venant de Tryr avait été d’abord livré au château, puis celle-ci fût renvoyé à la Commission d’enquête Royale.
À la cité de Madrigal et ses Colonies.
Salutation cité Madrigal et son Roi Armand de Gren,
Tryr et ses officiers royaux demande nouvelle de son ambassadeur récemment envoyer en Madrigal à des fins diplomatiques. Nous n’avons aucune nouvelle de l’Honorable Hubert d’Ulric IV, chargé des missions diplomatiques et Ambassadeur de Tryr.
Nous présumons que rien ne lui est arrivé, puisque s’il était le cas, Madrigal et ses conseillers auraient bien évidement envoyer une missive officielle afin de nous en informer. Puisque celui-ci a des obligations en Tryr, nous vous demandons donc de l’informer que son retour est attendu avec impatience.
Puisse l’Unique vous protégez,
Robert Armand de Tryr, Chancelier.
Geezer- Coordinateur
- Messages : 493
Date d'inscription : 29/09/2012
Re: À la commission d'enquête
Quand le malheur frappe
Il ne vient pas seul!
Alors Lieutenant, je suis certaine qu'avec un peu d'effort, vous pourriez me donner le nom de ces gardes. Dit la Maeshin, intransigeante dans sa demande qui se tenait derrière les barreaux de la prison de Madrigal.
Puis-que je vous dis que j'ai oublié leur nom. Ça serre à rien de me demander la question 100 fois! S'insultait le Lieutenant qui avait été mis sous arrêt pour refus de coopération alors qu'il chancelait toujours du à l'alcool dans son sang.
Bien, dans ce cas, je suis certaine que votre mémoire retrouvera ses capacités. Nous possédons d'autre moyen de vous faire parler Dit-elle avec une froideur menaçante.
Alors qu'elle allait en ajouter d'avantage, son ex-secrétaire personnel vint la trouver dans les sous-sols du château pour lui remettre.
Dame Terram, il s'agit de la lettre de l'empire. Dit-il humblement sachant très bien de toute l'importance de ce bout de papier.
Lettre en main:
Bien, Lieutenant Armandilo, nous continuerons cette discussion très prochainement et en espérant que d'ici là, que votre matière grise sera plus apte à vous sortir de votre impasse. Trancha-t-elle avec sévérité mais un brin de lueur carnassière dans les yeux. Elle fit demi-tour dans un claquement de cape afin de laisser le lieutenant à son destin.
Monsieur Cressen, j'aimerais emprunté votre bureau pour écrire une réponse convenable à l'Empire. Je désire ne pas être dérangé par personne. Vous comprendrez que chacun des mots choisis aura un impact considérable sur les relations qu'entretiennent Madrigal et Tryr.
Évidement, l'euren offra volontier son bureau bureau à son ex-conseillère. Un bureau fort simple mais fonctionnel. La Maeshin se mise donc à écrire, tâchant de choisir les bon mots. Elle chiffonna un nombre important de papier alors qu'elle se ravisait dans les réponses et ce durant une bonne partie de la journée.
En fin de celle-ci, Monsieur Cressen se permis d'entrer discrètement.
Madame Terram, le Conseil Royale attend la réponse pour Tryr.
Oui Monsieur Cressen, veuillez informer le Conseil de faire preuve de patience. Elle sera écrite d'ici demain matin. Sa tête déposer dans ses deux mains, la feuille était blanche. Néanmoins, le sol était jonché de plusieurs essaies infructueux. Valioskia savait que le sort de Madrigal dépendait de sa plume et cela lui imposait un stresse énorme.
Au lendemain matin, fatiguée, la Maeshin remettait la réponse à Cressen.
J'espère que cela nous fera gagner du temps, Monsieur Cressen, sinon dans le cas contraire, nous allons devoir nous préparer à une autre guerre.
Après quoi, elle quitta pour aller se reposer, son visage de glace si raffiner soit-il ne pouvait masquer ses cernes et sa fatigue.
La Maeshin avait bien prise soin de ne dire aucun mensonge dans sa lettre mais n'avait pas non plus dite toute la vérité. Une lettre qui voulait dire en somme ... rien. Mais telle politicienne, elle cherchait à gagner du temps. Elle ne pouvait écrire à Tryr que l'ambassadeur était mort sans y apporter réparation, c'est à dire, la tête du responsable...
Il ne vient pas seul!
Alors Lieutenant, je suis certaine qu'avec un peu d'effort, vous pourriez me donner le nom de ces gardes. Dit la Maeshin, intransigeante dans sa demande qui se tenait derrière les barreaux de la prison de Madrigal.
Puis-que je vous dis que j'ai oublié leur nom. Ça serre à rien de me demander la question 100 fois! S'insultait le Lieutenant qui avait été mis sous arrêt pour refus de coopération alors qu'il chancelait toujours du à l'alcool dans son sang.
Bien, dans ce cas, je suis certaine que votre mémoire retrouvera ses capacités. Nous possédons d'autre moyen de vous faire parler Dit-elle avec une froideur menaçante.
Alors qu'elle allait en ajouter d'avantage, son ex-secrétaire personnel vint la trouver dans les sous-sols du château pour lui remettre.
Dame Terram, il s'agit de la lettre de l'empire. Dit-il humblement sachant très bien de toute l'importance de ce bout de papier.
Lettre en main:
Bien, Lieutenant Armandilo, nous continuerons cette discussion très prochainement et en espérant que d'ici là, que votre matière grise sera plus apte à vous sortir de votre impasse. Trancha-t-elle avec sévérité mais un brin de lueur carnassière dans les yeux. Elle fit demi-tour dans un claquement de cape afin de laisser le lieutenant à son destin.
Monsieur Cressen, j'aimerais emprunté votre bureau pour écrire une réponse convenable à l'Empire. Je désire ne pas être dérangé par personne. Vous comprendrez que chacun des mots choisis aura un impact considérable sur les relations qu'entretiennent Madrigal et Tryr.
Évidement, l'euren offra volontier son bureau bureau à son ex-conseillère. Un bureau fort simple mais fonctionnel. La Maeshin se mise donc à écrire, tâchant de choisir les bon mots. Elle chiffonna un nombre important de papier alors qu'elle se ravisait dans les réponses et ce durant une bonne partie de la journée.
En fin de celle-ci, Monsieur Cressen se permis d'entrer discrètement.
Madame Terram, le Conseil Royale attend la réponse pour Tryr.
Oui Monsieur Cressen, veuillez informer le Conseil de faire preuve de patience. Elle sera écrite d'ici demain matin. Sa tête déposer dans ses deux mains, la feuille était blanche. Néanmoins, le sol était jonché de plusieurs essaies infructueux. Valioskia savait que le sort de Madrigal dépendait de sa plume et cela lui imposait un stresse énorme.
Au lendemain matin, fatiguée, la Maeshin remettait la réponse à Cressen.
J'espère que cela nous fera gagner du temps, Monsieur Cressen, sinon dans le cas contraire, nous allons devoir nous préparer à une autre guerre.
Après quoi, elle quitta pour aller se reposer, son visage de glace si raffiner soit-il ne pouvait masquer ses cernes et sa fatigue.
Votre Honorable Chancelier de l'Empire de Tryr Robert Armand,
Tout d'abord, je tiens à vous faire les salutations au nom de Madrigal et de ses Colonies en espérant que nos deux nations puissent entretenir des échanges cordiales et amicaux. J'ai été nommé, moi et mes collègues à titre de Mandataire de la Commission d'enquête Royale. Le Conseil nous a donner le mandat de répondre à votre missive officielle.
Nous pouvons déjà savoir que le titre qui nous a été confié devrait vous faire sourciller et nous en sommes navrés. Il s'avère que des événements de la plus hautes importances ce sont produits au sein même de la Capitale de Rieden. C'est pourquoi la royauté ainsi que le Conseil a expressément créer la Commission afin de faire la lumière sur les événements entourant la venue de l'honorable Ambassadeur Hubert D'Ulric IV.
Soyez assuré, Messire le Chancelier, que Madrigal vous informera en premier lieu dès que nous aurons la confirmation de la chronologie des événements ainsi que de ses acteurs. Je me fais un devoir de vous tenir à jour sur les résultats de notre travaille.
Comme il a été dans le passé, Madrigal vous offres sa pleine coopération dans cette affaire.
Une autre lettre vous parviendra sous peu Chancelier.
Avec tout mes respects,
Valioskia Terram, Mandataire de la Commission d'enquête Royale au nom du Conseil du Roi ainsi que son Majester le Roi Armand de Gren
La Maeshin avait bien prise soin de ne dire aucun mensonge dans sa lettre mais n'avait pas non plus dite toute la vérité. Une lettre qui voulait dire en somme ... rien. Mais telle politicienne, elle cherchait à gagner du temps. Elle ne pouvait écrire à Tryr que l'ambassadeur était mort sans y apporter réparation, c'est à dire, la tête du responsable...
V.Terram, Maeshin- Messages : 928
Date d'inscription : 26/09/2012
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