Les belles, les brutes et les pirates
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Les belles, les brutes et les pirates
La brise marine tout à fait glaciale folâtrait entre les équipiers qui débarquaient du navire. Le quai gelé craquait sous leur pas alors qu’ils échangeaient sur leur récente aventure. Des fées, des pixies, des pigments, des serpents argentés, des serpents de mers, des colosses, et pour finir, deux coffres aux trésors… on pouvait dire que la troupe plus qu’hétéroclite aurait de quoi raconter pour les jours qui s’en venaient.
La Yamato perdait lentement son teint verdâtre qu’elle avait eu tout le long du voyage en navire au profit de son habituel teint jaune. Avant de perdre ses compagnons de vue, la proposition fut lancée; il restait une carte au trésor, et donc un coffre à trouver. Il fut rapidement convenu qu’ils repartiraient dès que tous auraient pu se restaurer brièvement.
La troupe repartit donc du bon pied, quoiqu’avec quelques changements en son sein. Alors que sur le navire ils avaient été deux Loriels, un Euren, une Nurr et deux Yamatos, ne restait maintenant qu’une seule des deux Loriels et un des Yamatos avaient changé d’identité; le soigneur ayant été remplacé par le membre de la garde.
La Nurr, la Loriel, l’Euren et les deux Yamatos reprirent donc le chemin, leurs pieds bottés foulant la route boueuse et en partie gelée d’un bon pas, et c’est seulement devant le campement brigand, si connu, qu’ils durent faire leur première halte. Un brigand Maeshin plus virulent que les autres tenait à argumenter avec eux, mais l’issue n’en fut pas moins celle de toujours. Les aventuriers l’avaient pourtant prévenu… et ils avaient même poussé la compassion jusqu’à lui offrir la vie sauve en échange de leur passage. Malgré ses propres réticences la Yamato avait fini par accepter de le laisser en vie, suivant la majorité du groupe, quoiqu’elle n’aimait pas l’idée de laisser un brigand impuni, mais le Maeshin choisit par lui-même quand il osa lever la main vers la Nurr. À peine un battement de cil plus tard et il était au sol, son sang imbibant lentement la route. Elle l’avait prévenu : ils n’étaient pas un groupe de voyageurs perdus…
Il y avait bien l’agrandissement du campement brigand dans la vallée non loin, qui était habité par un grand nombre de Yamatos sans honneur, qui la turlupinait, mais ils n’étaient pas là dans ce but ce jour-là et, délaissant ce campement si mal famé, ils s’enfoncèrent dans la forêt qui jouxtait la route, si morne en ce jour d’hiver. On pouvait les entendre de loin tant leur groupe marchait bruyamment, mais que pouvait-on espérer d’un groupe aussi hétéroclite? Les branches étaient cassées sans ménagement pour frayer le chemin, leur trace laissée bien en évidence dans la neige, un aveugle sourd aurait sans doute pu les retracer sans problèmes. Et ce qui devait arriver arriva. Ils furent repérer aisément par des éclaireurs orcs près de l’imposant campement orc, mais heureusement pour les comparses, ils eurent tôt fait de se débarrasser de ces témoins dangereux, avant que ceux-ci ne rejoignent leur campement et ne donnent l’alerte. Après avoir mis a mal quelques éclaireurs, ils purent poursuivre leur chemin, longeant la falaise.
S’arrêtant devant un ravin imposant, la Yamato leva les yeux vers les parois des deux côtés. Elle déroula de nouveau le vieux parchemin et scruta attentivement les alentours, cherchant ses repères. Devant le groupe qui attendait les directives, hésitant entre contourner ou passer au travers, elle prit la parole de sa voix calme et posée :
« Ce sera plus rapide si nous passons par ce ravin. »
Roulant et rangeant la carte avec un soin maniaque, elle leur emboîta le pas, et le groupe fit résonner le ravin du vacarme de leur passage. C’est à peine si la Loriel ne chantonnait pas, c’est dire leur niveau de discrétion. Ils effrayèrent quelques bouquetins qui prirent la fuite à leur approche, mais ce fut tout ce qu’ils croisèrent dans cet endroit pourtant si propice aux embuscades.
De l’autre côté, ils s’enfoncèrent de nouveau dans une forêt qui semblait morte par ce jour froid d’hiver, avant que la Yamato ne leur fasse tourner bride pour se diriger vers un espace plus vaste. La carte avait été trompeuse et elle avait cru à tord que le coffre avant été caché au pied des arbres magiques, ce qui n’était finalement pas le cas, à son grand soulagement.
Les cerfs massés en troupeaux tout près les suivaient des yeux, mais outre eux et du petit gibier à ne plus savoir qu’en faire, l’endroit semblait désert. Ils avaient bien repéré des Seraphins non loin, mais d’un commun accord ils décidèrent de ne pas tenter le destin. Leur but n’était pas l’exploration en tant que tel ni le contrôle de la population de séraphins… mais bien de retrouver un coffre enterré depuis des années… quelque part dans le sous-sol gelé de cette forêt.
La Yamato ressortit la carte, et suivant les repères, elle cerna un endroit dans la forêt, qui semblait le plus propice à être l’endroit désigné par la carte. Sortant une pioche de son petit sac à main, elle lança un regard à la ronde sur ses compagnons de voyage :
« Un volontaire pour creuser? »
C’est qu’avec le sol gelé, elle n’avait pas vraiment l’envie de se casser le dos à nouveau en déterrant le coffre. Il faut dire que sur les 5 autres coffres retrouvés, elle avait du en piocher la majorité! La Loriel enjouée fut la plus rapide à répondre, et c’est avec entrain qu’elle commença à piocher de ci de là afin de repérer le coffre.
« Klonk! » fit donc la pioche, quand elle l’abattit sur quelque chose qui semblait être plus que de la simple terre à demi-gelée. La petite Loriel reprit son piochage avec vigueur, en lançant un joyeux : « Il est ici! » et rapidement, le coffre fut visible.
La Yamato s’approcha du coffre encore boueux, sortant ses petits outils de sa besace. Elle devait maintenant réussir à l’ouvrir… sans se le faire exploser au visage… comme cela avait eu lieu un peu trop souvent à son goût. Le duo de Yamatos s’attaqua donc à la serrure et au mécanisme du piège dans un élan commun, car il était évidemment piégé comme elle l’avait présumé.
Alors qu’elle était agenouillée devant le coffre, travaillant délicatement de ses longs doigts fins, concentrée sur la tache à accomplir, une partie du reste de la troupe tomba sur des pirates, qui remontèrent rapidement dans une barque, retournant sur leur navire accosté non loin. Peut-être ses équipiers et elle venaient ils de trouver le trésor de ces pirates?
« Clic! » La jeune Yamato ne put s’empêcher un sourire satisfait. La satisfaction de réussir à crocheter ces vieilles serrures et ces pièges si dangereux ne se remplaçait pas. Ouvrant le coffre d’un mouvement fluide, elle fronça un peu les sourcils en voyant ce qu’il contenait. Un casque Yamato… un Katana… une longue vue… des pierreries, un peu d’or… mais c’était visiblement un butin Yamato! Soucieuse, elle ramassa la longue vue et se rendit sur la rive, observant le navire pirate au loin. Était-il plein de ces Yamatos sans honneur qui semblaient arriver en masse depuis quelque temps?
« Ils discutent sur le pont. » fit-elle savoir au reste de la compagnie. Ils s’inquiétèrent un peu de la suite des évènements, car selon les témoins qui avaient vu lesdits pirates… ils étaient nombreux! Remettant la longue vue à son oeil, elle scruta à nouveau le bateau visible sur les flots, malgré le vent glacial qui lui fouettait le visage.
« Ils partent vers le Sud. » fut sa conclusion, alors que le bâtiment pirate bifurquait pour contourner l’île. Ainsi, les vilains avaient préféré abandonner leur butin aux aventuriers, mais pourquoi? Probablement pour un butin plus imposant. Vaguement inquiète de la destination des pirates, la troupe reprit le chemin de la ville. Plusieurs d’entre eux étaient fourbus et l’heure du repos bien mérité avait sonné. Qui sait s’ils réentendraient parler de ces pirates ou non…
La Yamato perdait lentement son teint verdâtre qu’elle avait eu tout le long du voyage en navire au profit de son habituel teint jaune. Avant de perdre ses compagnons de vue, la proposition fut lancée; il restait une carte au trésor, et donc un coffre à trouver. Il fut rapidement convenu qu’ils repartiraient dès que tous auraient pu se restaurer brièvement.
La troupe repartit donc du bon pied, quoiqu’avec quelques changements en son sein. Alors que sur le navire ils avaient été deux Loriels, un Euren, une Nurr et deux Yamatos, ne restait maintenant qu’une seule des deux Loriels et un des Yamatos avaient changé d’identité; le soigneur ayant été remplacé par le membre de la garde.
La Nurr, la Loriel, l’Euren et les deux Yamatos reprirent donc le chemin, leurs pieds bottés foulant la route boueuse et en partie gelée d’un bon pas, et c’est seulement devant le campement brigand, si connu, qu’ils durent faire leur première halte. Un brigand Maeshin plus virulent que les autres tenait à argumenter avec eux, mais l’issue n’en fut pas moins celle de toujours. Les aventuriers l’avaient pourtant prévenu… et ils avaient même poussé la compassion jusqu’à lui offrir la vie sauve en échange de leur passage. Malgré ses propres réticences la Yamato avait fini par accepter de le laisser en vie, suivant la majorité du groupe, quoiqu’elle n’aimait pas l’idée de laisser un brigand impuni, mais le Maeshin choisit par lui-même quand il osa lever la main vers la Nurr. À peine un battement de cil plus tard et il était au sol, son sang imbibant lentement la route. Elle l’avait prévenu : ils n’étaient pas un groupe de voyageurs perdus…
Il y avait bien l’agrandissement du campement brigand dans la vallée non loin, qui était habité par un grand nombre de Yamatos sans honneur, qui la turlupinait, mais ils n’étaient pas là dans ce but ce jour-là et, délaissant ce campement si mal famé, ils s’enfoncèrent dans la forêt qui jouxtait la route, si morne en ce jour d’hiver. On pouvait les entendre de loin tant leur groupe marchait bruyamment, mais que pouvait-on espérer d’un groupe aussi hétéroclite? Les branches étaient cassées sans ménagement pour frayer le chemin, leur trace laissée bien en évidence dans la neige, un aveugle sourd aurait sans doute pu les retracer sans problèmes. Et ce qui devait arriver arriva. Ils furent repérer aisément par des éclaireurs orcs près de l’imposant campement orc, mais heureusement pour les comparses, ils eurent tôt fait de se débarrasser de ces témoins dangereux, avant que ceux-ci ne rejoignent leur campement et ne donnent l’alerte. Après avoir mis a mal quelques éclaireurs, ils purent poursuivre leur chemin, longeant la falaise.
S’arrêtant devant un ravin imposant, la Yamato leva les yeux vers les parois des deux côtés. Elle déroula de nouveau le vieux parchemin et scruta attentivement les alentours, cherchant ses repères. Devant le groupe qui attendait les directives, hésitant entre contourner ou passer au travers, elle prit la parole de sa voix calme et posée :
« Ce sera plus rapide si nous passons par ce ravin. »
Roulant et rangeant la carte avec un soin maniaque, elle leur emboîta le pas, et le groupe fit résonner le ravin du vacarme de leur passage. C’est à peine si la Loriel ne chantonnait pas, c’est dire leur niveau de discrétion. Ils effrayèrent quelques bouquetins qui prirent la fuite à leur approche, mais ce fut tout ce qu’ils croisèrent dans cet endroit pourtant si propice aux embuscades.
De l’autre côté, ils s’enfoncèrent de nouveau dans une forêt qui semblait morte par ce jour froid d’hiver, avant que la Yamato ne leur fasse tourner bride pour se diriger vers un espace plus vaste. La carte avait été trompeuse et elle avait cru à tord que le coffre avant été caché au pied des arbres magiques, ce qui n’était finalement pas le cas, à son grand soulagement.
Les cerfs massés en troupeaux tout près les suivaient des yeux, mais outre eux et du petit gibier à ne plus savoir qu’en faire, l’endroit semblait désert. Ils avaient bien repéré des Seraphins non loin, mais d’un commun accord ils décidèrent de ne pas tenter le destin. Leur but n’était pas l’exploration en tant que tel ni le contrôle de la population de séraphins… mais bien de retrouver un coffre enterré depuis des années… quelque part dans le sous-sol gelé de cette forêt.
La Yamato ressortit la carte, et suivant les repères, elle cerna un endroit dans la forêt, qui semblait le plus propice à être l’endroit désigné par la carte. Sortant une pioche de son petit sac à main, elle lança un regard à la ronde sur ses compagnons de voyage :
« Un volontaire pour creuser? »
C’est qu’avec le sol gelé, elle n’avait pas vraiment l’envie de se casser le dos à nouveau en déterrant le coffre. Il faut dire que sur les 5 autres coffres retrouvés, elle avait du en piocher la majorité! La Loriel enjouée fut la plus rapide à répondre, et c’est avec entrain qu’elle commença à piocher de ci de là afin de repérer le coffre.
« Klonk! » fit donc la pioche, quand elle l’abattit sur quelque chose qui semblait être plus que de la simple terre à demi-gelée. La petite Loriel reprit son piochage avec vigueur, en lançant un joyeux : « Il est ici! » et rapidement, le coffre fut visible.
La Yamato s’approcha du coffre encore boueux, sortant ses petits outils de sa besace. Elle devait maintenant réussir à l’ouvrir… sans se le faire exploser au visage… comme cela avait eu lieu un peu trop souvent à son goût. Le duo de Yamatos s’attaqua donc à la serrure et au mécanisme du piège dans un élan commun, car il était évidemment piégé comme elle l’avait présumé.
Alors qu’elle était agenouillée devant le coffre, travaillant délicatement de ses longs doigts fins, concentrée sur la tache à accomplir, une partie du reste de la troupe tomba sur des pirates, qui remontèrent rapidement dans une barque, retournant sur leur navire accosté non loin. Peut-être ses équipiers et elle venaient ils de trouver le trésor de ces pirates?
« Clic! » La jeune Yamato ne put s’empêcher un sourire satisfait. La satisfaction de réussir à crocheter ces vieilles serrures et ces pièges si dangereux ne se remplaçait pas. Ouvrant le coffre d’un mouvement fluide, elle fronça un peu les sourcils en voyant ce qu’il contenait. Un casque Yamato… un Katana… une longue vue… des pierreries, un peu d’or… mais c’était visiblement un butin Yamato! Soucieuse, elle ramassa la longue vue et se rendit sur la rive, observant le navire pirate au loin. Était-il plein de ces Yamatos sans honneur qui semblaient arriver en masse depuis quelque temps?
« Ils discutent sur le pont. » fit-elle savoir au reste de la compagnie. Ils s’inquiétèrent un peu de la suite des évènements, car selon les témoins qui avaient vu lesdits pirates… ils étaient nombreux! Remettant la longue vue à son oeil, elle scruta à nouveau le bateau visible sur les flots, malgré le vent glacial qui lui fouettait le visage.
« Ils partent vers le Sud. » fut sa conclusion, alors que le bâtiment pirate bifurquait pour contourner l’île. Ainsi, les vilains avaient préféré abandonner leur butin aux aventuriers, mais pourquoi? Probablement pour un butin plus imposant. Vaguement inquiète de la destination des pirates, la troupe reprit le chemin de la ville. Plusieurs d’entre eux étaient fourbus et l’heure du repos bien mérité avait sonné. Qui sait s’ils réentendraient parler de ces pirates ou non…
- Spoiler:
- Hj : je n'ai pas nommé les participants au cas où ils préféraient garder l'anonymat. Libre à eux de poster l'aventure vue par leur perso si l'envie leur en prend ^.^
Nao Miyamoto, Yamato- Messages : 932
Date d'inscription : 12/10/2012
Localisation : Non loin!
Re: Les belles, les brutes et les pirates
La Perle venait tout juste de jeter l'ancre que déjà, la Yamato et le garde euren courraient pour éviter de jeter, une fois de plus, le contenu de leurs tripes par dessus-bord.
Tellement de pigments ! Tellement de plaisir à changer de tenue souvent ! Vivement qu'elle puisse rencontré messire Ilyas..
Le danger avait, en effet, été du voyage. Elle avait ENFIN vue des serpents de mer (Note du carnet de bord: à fuir rapidement ou mort certaine.). Ces cffres aux trésor étaient décidément une aventure palpitante, à refaire !
Après un partage des gains, un remplissage de gourde et l'empaquetage de nourriture les gens désirant continuer furent d'attaque pour la dernière carte de la Yamato.
Trois gardes, une yamato et la magnifique Saphir. Quelle joyeuse compagnie !
Un brigant maeshin avait tenter de les convaincre que "trois brigands" étaient menaçant contre une troupe aussi nombreuse.. Il fut laissé pour mort, fesses-nues, pendant que le groupe continuaient leur route.. Pourtant on lui avait gentiment proposer de lui laisser gracieusement sa vie contre le passage gratuit ..
La route étaient encore longue.. On tourna vers la forêt, où des orcs voulurent les trucidé. Heureusement, ce fût les orcs qui furent trucidé.. Saphir pu donc continuer sa route avec ses joyeux compagnons sans trop de soucis.
La Loriel voulait contourner la montagne :Qui sait, on trouverait peut-être de nouveaux pigments ? mais il fut convenu du chemin rapide à travers ce chemin regorgeant surement de chose horrible... La loriel était tellement suspicieuse qu'elle fût terrorisée par l'ombre ... d'une chèvre. Réalisant que l'endroit était tranquille, elle visita une mine et continua le chemin en sifflotant un des airs qu'elle avait inventé.
une nouvelle forêt. De nouveaux pigments ? non malheureusement .. La loriel savait deja que le coffre ne serait pas prêt des arbres magique, mais préférait se terre: Quel superbe occasion que d'en voir un!
Finalement la Yamato avait comprise, malheureusement, et se dirigea vers la bonne direction.
Le garde Euren se baladait un peu partout
La Nurr semblait contemplative par la beauté de la forêt
Le Garde Yamato protégeait la troupe attentivement
La yamato cherchait l'endroit
suivi de prêt par la curieuse Loriel..
« Un volontaire pour creuser? »
« Moi! Moi! Moi! »
Dit la loriel
Elle adorait chercher ! Elle trouva finalement le coffre au pied d'un arbre. Malgré a sueur, et l'impression d’être un vrai souffre-douleur à sortir toute seule un coffre presque aussi gros qu'elle (Ou que le groupe soient heureux qu'elle soit enfin tranquille, sans partir explorer partout a la recherche de pigment) , elle entendit un
« Oops »
sans que la loriel s’attarde vraiment au pirate qui disait la chose plus loin... Le groupe était parti a la poursuite de celui-ci pendant que a Yamato s’affairait à ouvrir le coffre , protégé par un des trois gardes.
« Clic! »
On ouvrit le coffre.. Casque, longue vue, Katana, pierreries, or et aucun pigment. Décidément un coffre digne d'un yamato. La Yamato prit la longue vue pendant que a Loriel tria le tout pour la séparation des gains et parti rejoindre le groupe.
Une fois le ou trier, elle se rendit avec les autre, constater que le bateau prenait le large au sud
Tant pis!
la route du retour fut bien agréable au moins! Saphir avait trouver d’autres pigments en rentrant !
Saphir, Loriel- Messages : 458
Date d'inscription : 18/06/2013
Age : 36
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