Tranche de vie d'un tortionnaire.

Le cri du criminel retentit dans toute la pièce. Eric donna un coup sec sur la roue pour écartellé l'homme de plus belle.

-Je... je sais rien je vous dit.
-Tu nous fais perdre notre temps a tout deux avec tes mensonges. Tout ce que je veux c'est le nom de ton employeur. J'ai plein d'autre instruments a te faire essayer, mais je devrais tous les netoyer par la suite. Alors si on en restait simplement la? Qui est ton employeur?
-J'en est pas.. j'ai.. j'ai agit par moi même.

Dans un soupir, eric tourna la roue de nouveau et un autre cri fit echo dans le sous-terrain. Il se dirigea ensuite à son coffre a outil pour y prendre un couteau fraichement aiguisé. Il l'examina un moment, laissant au criminel un faux moment de repit. Puis lentement se tourna de nouveau vers son intérogé, lame pointé vers lui mollement.

-Voyez vous... le probleme avec l'ecorchement, c'est pas seulement le fait que c'est tres salisant, mais c'est plutot les risque de contamination. Comme la chair est mis a nue, il n'y a plus rien pour la proteger des maladies. Alors on se voit obligé de salée la chair pour evité la mort de la victime. Une fois terminé la scéance, il faut également bruler a vif la chair pour aidé à la regeneration. Donc plus la scéance est longue, plus la douleur est difficile à soutenir. Mais bon si ca peut te rassuré, la plupart perde connaisance en cours de route donc tu ne sentira pas la totalité de la douleur infligé. Qui est ton employeur?

-Je.. je vous jure monseigneur, je ne voulait que nourir ma famille, je connait personne dans le milieu, je suis personne moi un moins que rien.
-Malheureusement j'ai de la difficulté à te croire.

A ces mots Eric commenca l'ecorchement. Quelques minutes plus tard il sortit de la piece, un chiffon en main pour s'essuyer. Son capitaine l'attendait, une expression dégouté au visage a force d'entendre le pauvre bourgre crier sa misère.

-Il ne sais rien. Ce n'est un simple voleur de bas étage. La prochaine fois soyez sur de votre coup, c'était une belle perte de temps tout ceci.
-Oui surtout pour nous, vous devez surement avoir pris votre pied, taré comme vous êtes. Faire ce genre de chose et vous ne bronchez même pas.
-Voyez vous le forgeron broncher lorsqu'il forge capitaine? Ou bien le bucheron etre pris de remord lorsqu'il abbat un arbre? C'est un metier et je suis simplement un proffesionnel. Alors gardé vos commentaire de bas fondement pour vous. Seul les fou prennent plaisir face a la misère des autres.

Le visage encore plus colerique qu'a son habitude, Eric entama sa sorti. Il était temps qu'il quitte ses services aupres de Tryr. Son Capitaine l'aura mauvais apràs un tel manque de respect.

-Décimation? c'est quoi ca? demanda le jeune Eric agée alors d'une vingtaine.
-Tu va bientôt le savoir?

Le 25 eme battaillon de l'armée Tryrien se tenais tous en ligne devant leurs général, habillé en simple guenilles. Durant la dernière bataille, le bataillons s'était vue obligé de fuire pour leurs vie, malgré l'ordre de leur commandant. Ce dernier étant mort, bravant la mort pour sa patrie. Les conséquences de cette fuit semblait avoir été désatreuse et une sanction s'imposait à tout le bataillon. On avait décider de leur faire subir la decimation.

Ainsi le groupe punit avait été divisé en groupe de dix et chacun des groupe devait battre a mort un des leurs, choisit au hasard. On donna une massue à Eric ainsi d'un ordre de mise à mort. Tuer un frère d'arme n'avait rien a voir avec tuer un ennemi... Apres cette experiance, Eric n'avait plus été le même homme.