L'Océan des damnées
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L'Océan des damnées
L'océan est une perles parfois flou parfois humble et paisible. Alors que la mort rôde sur celle-ci, sans y crée la moindre ondes la vie elle, oeuvres lentement... suivant sa ligne si bien tracée.
Les ombres avancaient et plongaient dans l'océan de la mort, et les âmes perdue, elles, s'y aventuraient sans fin et sans loi. Vollant longuement, cherchant la mort ou la vie...
Accablé, tourmenté, perdu, patiente.
Accablé par les maux que l'on oublient jamais.
Tourmenté par la douleur d'un dernier soupire.
Perdu dans le néant de la pensé, entre l'illusion et la vérité.
Patient, patience, longue est l'éternité lorsque le guide ne vient pas.
Alors que l'océan de cendre s'étend vers l'infini, je marche, encore une fois, sur son être. Alors que mes pas laisse une trainer de sang où les âmes
cherchent refuges, vitalité et réalité, je m'avance vers l'infinie, encore une fois.
Le regard vide, sans loi, sans foi, sans vie, patient, je regarde, affligé par un tourment qui ronge mon être tel une affliction.
-Le mangeur d'âme.
''l'ont m'apelle, quel voix peut bien percer le néant?''
Une voix... une voix si terrible, si froide, tranchante, sans gloire, sans faim. Une terrible voix, porteuse de mort, faucheuse de vie. La voix.
Les ombres devinrent écarlate, l'océan de sang et les âmes, figée par une glace grisâtre, tel l'eau qui givre à l'aube de l'hiver, immobile. Toujours présente mais sans vie.
-Voila un moment que vous ne m'aviez rendu Visite, Rhakimallahk.
'' Un moment ? la gloire du passé ma peut-être échappée, certes mais de tel souvenir, je m'en aurais fait tableau...''
-Vous avez donc oublié, Faucheur. Vous laissez votre esprit s'échoué alors que votre âme, déchirré, semble avoir oublié qui vous êtes.
''Je... qui suis-je''
Je regarder alors mes mains, sombre et translucide, mon corps fait de cendre et de plumes noirs, mon reflet, dans les âmes gelée...
-Vous avez donc tout oubliée..
Le regard perdu, dans la mort et le néant, l'océan aux milles statuts de givre brisa le reste de l'âme de celui que l'on surnommait le dévoreur d'âme.
Tourment.
Affliction.
Souffrance.
*****
-L'Océan des damnées n'est pas un lieux pour les âmes mortelles.
-Nous le savons bien.
....
*****
Le regard a nouveau vivant, porté vers le ciel. La pluie, encore douce et fraiche. Le printemps a nos portes. Peut-être illusion, peut-être réalité...
Wruntak Pika: Bordel rammène ton fion ici Rhaki, qu'est-ce que tu foutre ?
Sur pied lentement, les ombres des anciennes âmes avalée semble disparu, je retire lentement mon haume, mon visage, foi de guerre du passé se souviens toujours,
mon corps se souvien encore. Mais cette fois, le souvenir d'une vie passé, d'un devoir échoué, d'un pacte et d'un sceau son bien réalité.
....
Mon baton est le sceptre de l'affliction.
Ma voix le fléau porteur de tourment.
Ma chair est le plus vénimeux des poisons
Oracle noire de l'oublie
Prophètes des abysses
Je suis le faucheur des âmes.
Gardien des Portes de l'Océan des damnées.
Les ombres avancaient et plongaient dans l'océan de la mort, et les âmes perdue, elles, s'y aventuraient sans fin et sans loi. Vollant longuement, cherchant la mort ou la vie...
Accablé, tourmenté, perdu, patiente.
Accablé par les maux que l'on oublient jamais.
Tourmenté par la douleur d'un dernier soupire.
Perdu dans le néant de la pensé, entre l'illusion et la vérité.
Patient, patience, longue est l'éternité lorsque le guide ne vient pas.
Alors que l'océan de cendre s'étend vers l'infini, je marche, encore une fois, sur son être. Alors que mes pas laisse une trainer de sang où les âmes
cherchent refuges, vitalité et réalité, je m'avance vers l'infinie, encore une fois.
Le regard vide, sans loi, sans foi, sans vie, patient, je regarde, affligé par un tourment qui ronge mon être tel une affliction.
-Le mangeur d'âme.
''l'ont m'apelle, quel voix peut bien percer le néant?''
Une voix... une voix si terrible, si froide, tranchante, sans gloire, sans faim. Une terrible voix, porteuse de mort, faucheuse de vie. La voix.
Les ombres devinrent écarlate, l'océan de sang et les âmes, figée par une glace grisâtre, tel l'eau qui givre à l'aube de l'hiver, immobile. Toujours présente mais sans vie.
-Voila un moment que vous ne m'aviez rendu Visite, Rhakimallahk.
'' Un moment ? la gloire du passé ma peut-être échappée, certes mais de tel souvenir, je m'en aurais fait tableau...''
-Vous avez donc oublié, Faucheur. Vous laissez votre esprit s'échoué alors que votre âme, déchirré, semble avoir oublié qui vous êtes.
''Je... qui suis-je''
Je regarder alors mes mains, sombre et translucide, mon corps fait de cendre et de plumes noirs, mon reflet, dans les âmes gelée...
-Vous avez donc tout oubliée..
Le regard perdu, dans la mort et le néant, l'océan aux milles statuts de givre brisa le reste de l'âme de celui que l'on surnommait le dévoreur d'âme.
Tourment.
Affliction.
Souffrance.
*****
-L'Océan des damnées n'est pas un lieux pour les âmes mortelles.
-Nous le savons bien.
....
*****
Le regard a nouveau vivant, porté vers le ciel. La pluie, encore douce et fraiche. Le printemps a nos portes. Peut-être illusion, peut-être réalité...
Wruntak Pika: Bordel rammène ton fion ici Rhaki, qu'est-ce que tu foutre ?
Sur pied lentement, les ombres des anciennes âmes avalée semble disparu, je retire lentement mon haume, mon visage, foi de guerre du passé se souviens toujours,
mon corps se souvien encore. Mais cette fois, le souvenir d'une vie passé, d'un devoir échoué, d'un pacte et d'un sceau son bien réalité.
....
Mon baton est le sceptre de l'affliction.
Ma voix le fléau porteur de tourment.
Ma chair est le plus vénimeux des poisons
Oracle noire de l'oublie
Prophètes des abysses
Je suis le faucheur des âmes.
Gardien des Portes de l'Océan des damnées.
Yashura, Yamato- Messages : 45
Date d'inscription : 07/09/2012
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