Au port de Madrigal
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Au port de Madrigal
Je suis une navigatrice qui ne sait pas ou elle se trouve et ou aller, quelle douce ironie !
Assise sur un tonneau, adossé à un entrepôt, elle griffonnait ce qu’on lui dictait. Pardon, ce qu’on lui gueulait dans un marin boiteux. Heureusement pour elle, elle l’avait apprise bien jeune. Ce petit boulot ne payait presque pas mais il lui changeait les idées. Quand le vieux loup de mer c’était rendu compte que la rouquine se trimbalait avec un paquet de parchemins cartographiés dans son sac, il avait conclu qu’elle devait savoir lire et écrire, peut-être même compter ! Il l’a d’abord demandé en mariage, beau parti qu’il était de 78 ans, il possédait 2 chaloupes et demi et un entrepôt tout de même. Elle y songea un bon 10 seconde poli avant de l’envoyer gentiment promener. En retour, il lui proposa ce boulot.
Depuis qu’elle avait quitté son dernier emploi en débarquant avec les autres passagers, elle revenait sur les quais sans raison particulière si ce n’est, chercher des repaires. Tout lui était inconnu sur ce nouveau continent, mais peu importe les ports du monde, au moins cette ambiance ne changeait pas.
Elle c’était mise à cartographier les environs, mais tout était à faire. Ce continent était en grande partie vierge et les rares rodeurs devaient être particulièrement rapace sur leur secret. Un beau défis, même si elle partait avec un handicap pour se trouver du boulot d’éclaireur.
Tu vas t’acheter un bateau ? On lui avait posé cette question et elle était restée évasive. Le voulait elle ? Bien sur que si ! Un petit voilier pouvant être manœuvré à 1 ou 2 personnes serait l’idéal. Pas le gabarit pour de longue traversé mais rapide, pouvant passé dans les endroits a faible tirant d’eau.
Elle n'était jamais rester bien longtemps au même endroit et se lier d'amitier n'avait jamais été son fort. Quoi qu'il en soit, elle devrait surement apprendre puisque survivre seule dans cette contré sauvage, c'est pas de tout repos !
Dans ces rêveries, elle observait le trafique régulier du port. Ces marins, marchands, poissonniers, pêcheurs amateurs, vaurien, on y trouvait un peu de tout dans ces ports mais surtout les opportunités. Allait elle trouvé les siennes ?
Assise sur un tonneau, adossé à un entrepôt, elle griffonnait ce qu’on lui dictait. Pardon, ce qu’on lui gueulait dans un marin boiteux. Heureusement pour elle, elle l’avait apprise bien jeune. Ce petit boulot ne payait presque pas mais il lui changeait les idées. Quand le vieux loup de mer c’était rendu compte que la rouquine se trimbalait avec un paquet de parchemins cartographiés dans son sac, il avait conclu qu’elle devait savoir lire et écrire, peut-être même compter ! Il l’a d’abord demandé en mariage, beau parti qu’il était de 78 ans, il possédait 2 chaloupes et demi et un entrepôt tout de même. Elle y songea un bon 10 seconde poli avant de l’envoyer gentiment promener. En retour, il lui proposa ce boulot.
Depuis qu’elle avait quitté son dernier emploi en débarquant avec les autres passagers, elle revenait sur les quais sans raison particulière si ce n’est, chercher des repaires. Tout lui était inconnu sur ce nouveau continent, mais peu importe les ports du monde, au moins cette ambiance ne changeait pas.
Elle c’était mise à cartographier les environs, mais tout était à faire. Ce continent était en grande partie vierge et les rares rodeurs devaient être particulièrement rapace sur leur secret. Un beau défis, même si elle partait avec un handicap pour se trouver du boulot d’éclaireur.
Tu vas t’acheter un bateau ? On lui avait posé cette question et elle était restée évasive. Le voulait elle ? Bien sur que si ! Un petit voilier pouvant être manœuvré à 1 ou 2 personnes serait l’idéal. Pas le gabarit pour de longue traversé mais rapide, pouvant passé dans les endroits a faible tirant d’eau.
Elle n'était jamais rester bien longtemps au même endroit et se lier d'amitier n'avait jamais été son fort. Quoi qu'il en soit, elle devrait surement apprendre puisque survivre seule dans cette contré sauvage, c'est pas de tout repos !
Dans ces rêveries, elle observait le trafique régulier du port. Ces marins, marchands, poissonniers, pêcheurs amateurs, vaurien, on y trouvait un peu de tout dans ces ports mais surtout les opportunités. Allait elle trouvé les siennes ?
- Spoiler:
- Le poste est ouvert à Rp ou simplement rajouter vos activités dans le port
Eleïs Sarelle, Euren- Messages : 109
Date d'inscription : 06/11/2012
Re: Au port de Madrigal
Pendant bien des lunes la jeune Loriel avait arpenté régulièrement les quais de Madrigal, espérant rencontrer quelques officiels pour consulter les registres. Devant leur absence de réponse à sa missive, elle avait tentée ce moyen plus direct.
En vain là aussi.
Aujourd'hui cela ne comptait plus guère et pour un peu elle aurait aimée que d'autres l'ignorent tout autant que ces rustres. Seuls les problèmes et menaces avaient accourus durant son enquête, à croire qu'elle était décidément aussi inutile que semblait le penser Valioska Terram.
Elle contemplait parfois les navires en partance, se demandant si ça ne serait là la solution à ces ennuis: une voile s'éloignant à l'horizon. Disparaître là où personne ne la menaçait encore.
Si seulement elle n'était pas si malade en mer...
Sa capuche rabaissée sur son front, visage plongé dans les ombres, les yeux cernés par la fatigue, les traits tirés, elle sera aperçue régulièrement, assise sur un quai, composant de tristes ballades.
En vain là aussi.
Aujourd'hui cela ne comptait plus guère et pour un peu elle aurait aimée que d'autres l'ignorent tout autant que ces rustres. Seuls les problèmes et menaces avaient accourus durant son enquête, à croire qu'elle était décidément aussi inutile que semblait le penser Valioska Terram.
Elle contemplait parfois les navires en partance, se demandant si ça ne serait là la solution à ces ennuis: une voile s'éloignant à l'horizon. Disparaître là où personne ne la menaçait encore.
Si seulement elle n'était pas si malade en mer...
Sa capuche rabaissée sur son front, visage plongé dans les ombres, les yeux cernés par la fatigue, les traits tirés, elle sera aperçue régulièrement, assise sur un quai, composant de tristes ballades.
Zsuzanna, Loriel- Messages : 629
Date d'inscription : 20/07/2013
Age : 39
Localisation : Montreal
Re: Au port de Madrigal
« P'tain, qu'est-ce que c'est ennuyant cet endroit. »
Cela faisait maintenant plusieurs semaines que John Cole avait « échoué » près de Madrigal. En effet, suite à une mutinerie ou il avait définitivement choisi le camp des perdants, Jonathan avait dû sauter à l'eau afin de s'en sortir vivant. Vivant, mais ennuyé. Il ne se passait rien d'intéressant dans cette ville et il n'y avait pas assez d'actions pour lui. Cependant, ce n'était pas la première fois que John se retrouvait coincé dans une grande ville, sans pouvoir naviguer à sa guise.
Il s'était trouvé un boulot simple, de pêcheur, lui permettant de passer le plus clair de son temps aux quais et lui permettant d'avoir l'or afin de consommer cette essence plus que nécessaire à ses réflexions; l'alcool. De plus, grâce à sa rencontre avec Félicia, il pouvait faire de l'or supplémentaire avec quelques petits boulots à gauche et à droite, occupant une partie de son temps.
Heureusement pour lui, il avait entendu la rumeur que sa vieille amie, Sarelle, était également égarée dans ce trou à bourgeois. Il savait qu'il avait une chance de la convaincre de partir de Madrigal, à deux, ils pourraient facilement reconstituer un équipage et partir en haute mer. Bien que ce projet semblait intéressant, rien n'était ancrer. John avait de plus en plus l'impression que Félicia ne le laisserait pas partir facilement et il semblait avoir attirer l'attention de quelques curieux. Il aurait certains compte à régler avant de quitter, certaines personnes à visiter afin de leur faire comprendre qu'on ne pouvait se jouer du pêcheur.
Cela faisait maintenant plusieurs semaines que John Cole avait « échoué » près de Madrigal. En effet, suite à une mutinerie ou il avait définitivement choisi le camp des perdants, Jonathan avait dû sauter à l'eau afin de s'en sortir vivant. Vivant, mais ennuyé. Il ne se passait rien d'intéressant dans cette ville et il n'y avait pas assez d'actions pour lui. Cependant, ce n'était pas la première fois que John se retrouvait coincé dans une grande ville, sans pouvoir naviguer à sa guise.
Il s'était trouvé un boulot simple, de pêcheur, lui permettant de passer le plus clair de son temps aux quais et lui permettant d'avoir l'or afin de consommer cette essence plus que nécessaire à ses réflexions; l'alcool. De plus, grâce à sa rencontre avec Félicia, il pouvait faire de l'or supplémentaire avec quelques petits boulots à gauche et à droite, occupant une partie de son temps.
Heureusement pour lui, il avait entendu la rumeur que sa vieille amie, Sarelle, était également égarée dans ce trou à bourgeois. Il savait qu'il avait une chance de la convaincre de partir de Madrigal, à deux, ils pourraient facilement reconstituer un équipage et partir en haute mer. Bien que ce projet semblait intéressant, rien n'était ancrer. John avait de plus en plus l'impression que Félicia ne le laisserait pas partir facilement et il semblait avoir attirer l'attention de quelques curieux. Il aurait certains compte à régler avant de quitter, certaines personnes à visiter afin de leur faire comprendre qu'on ne pouvait se jouer du pêcheur.
Jonathan Cole, Euren- Messages : 67
Date d'inscription : 14/11/2012
Age : 37
Localisation : Montréal
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